Cachée au milieu de la forêt
Vit une femme aux mille secrets
Ceux qui la cherchent sont tourmentés
De ses paroles, espèrent se libérer
Elle ne cesse de pratiquer
Pourtant elle se sait traquée
Menacée de finir au bucher
Son seul tort, savoir soigner
Son pouvoir, ses grimoires, son savoir ça dérange !
C’est magique, chamanique, féérique, une offrande ! Belle offrande
Cachée au milieu de la forêt
Vit une femme aux mille secrets
Des histoires de chats noirs tard le soir se mélangent !
Maléfique, hérétique, diabolique, ils prétendent ! … ils prétendent… ça dérange !
Tu invoques l’esprit de l’arbre des ombres
Tu purifies les corps, les âmes les plus sombres
De tes sorts, tu provoques, les paroles profondes
Allégories ! oh paraboles moribondes !
Tu invoques l’esprit de l’arbre des ombres
Tu purifies les corps, les âmes les plus sombres
Tu n’es pas Morgane simplement Jeanne
Tu es née profane, cela te damne !
C’est la curée, le mal en soutane
Brûle, brûle, sorcière brûle !!!
Brûle, brûle, sorcière brûle !!!


Terré, muré, …au fond des Carpates
Crié…. Hurlé, visages au teint mat.
Reflets, brisés, miroirs qui éclatent
Figé…l’éternité à combattre
Malin, félin, en quête d’une trace
Besoin, sanguin morsure qui vous glace
Matins, chagrin fuir l’aube qui menace
Toujours insensible au temps qui passe
Charnelle, fidèle pour celle que tu aimes
Mortelle, cruelles les secondes s’égrainent
Trop belle, dentelles, c’est ton cœur qui saigne
Chandelles , rituel avant qu’elles s’éteignent
Martyr, souffrir, légende qui fait peur.
Grandir, subir l’étrange et l’horreur.
Mourir, pourrir, comme tes frères et sœurs
Finir avec un pieu dans le cœur
Mais qui es-tu Dracula ?
De tes joues coulent les larmes de sang
Et tu pleures dans la nuit… le maudit ….
Terré, muré, …au fond des Carpates
Crié…. Hurlé, visages au teint mat.
Reflets, brisés, miroirs qui éclatent
Figé…l’éternité à combattre
Lève-toi, pauvre Dracula et mords-moi !!!

Elle guette et part en quête de sa prochaine proie.
Un bon gars généreux et connu de surcroît.
Elle pose d’habiles questions pour tout connaître de toi.
Tout ce que tu aimes, elle adore et aimera.
Elle vend du rêve et cherche en toi, ce qu’elle n’a pas.
Joie de vivre, des amis, des valeurs, oh pauvre appât !
Fuir, il faut partir, son seul but, te détruire
Plaies, jamais fermées, se venger de son passé
Reine de séduction, experte en manipulation.
Tout est calcul, rien n’est sincère, belles illusions !
Toi tu y crois dur comme fer, c’est la passion.
La narcissique déploie toute sa perversion.
Aveuglé, tu perds raison, l’effet d’un poison.
Stressé, angoissé à tort, la vraie addiction.
Fuir, il faut partir, son seul but, te détruire
Plaies, jamais fermées, se venger de son passé
Brise ta liberté, jalouse tes amitiés.
Elle te méprise, et te jette sur cette mer déchaînée.
Quelle bêtise, tu t’accroches, ta bouée est percée.
Elle t’épuise, ne te laisse plus le temps de penser.
Te vampirise et te blesse, tu es son jouet.
Vaporise ta créativité, son être dédié.
Profitera de tout sans scrupule et sans-gêne.
Te quittera sans cesse, te plongera dans la peine.
Créera ce manque, recherche de cette drogue dans tes veines.
Et elle jouira de sa résilience souveraine.
Dans ses bras, tu deviendras marionnette de laine.
Narcissique perversion, reine de séduction
Narcissique perversion, l’effet d’un poison
Narcissique perversion, manipulations
Narcissique perversion, perds la raison
J’ai perdu l’étincelle de ma vie, le phare dans mes nuits.
Je vais sombrer comme je suis l’ami de l’ennui.
Je suis écorché vif et je navigue à vue.
Sur une terre plate pour qu’un bord m’arrête.
Car là je tourne, tourne, tourne et tourne sans cesse.

Les sages sont réunis, assis au cœur de la nuit,
Au centre de la clairière, siège le concile de pierre
A la lueur des flammes, invoquent les morts, les âmes
En cercle les mains tenues, la paix pour la tribu…
Une décision doit-être prise, d’une liaison non permise
D’unir une femme du clan voisin, le pacte est pour demain
Au fils du chef de la tribu, pas place pour le refus
Au milieu de la clairière, siège le concile de pierre
Acte politique, dilemme de cœur
Instant critique, des mères en pleurs
Pris de panique, vote le malheur
La vie, le sort d’un fils…… la vie, la mort d’un fils
Autour des pierres une clameur gronde, pères et mères forment la ronde
Disent non et montrent leurs désaccords, que les anciens ont tort.
Le temps venu est à la guerre, à bas le concile de pierre
Fini de parlementer, les glaives vont négocier
Acte politique, dilemme d’honneur
Cris fanatiques, des pères vengeurs
Têtes sur des piques, visions d’horreur
La vie, le sort des fils…. La vie, le mort des fils
A la lumière des torches, des éclats sur la roche
Au centre de la clairière, résonnent les prières.
Les guerriers sont à genou, aux chants aux cris du loup
Et la raison se perd, fin du concile de pierre…

On n’arrête pas le progrès, c’est lui qui nous arrête.
Construire des bombes ça plait, c’est mieux que faire la paix.
La société moderne, nous rend morose et terne.
Tu parles d’un bel avenir, facile de nous mentir.
Tu détruis ton prochain, avant qu’il te détruise.
La loi primaire des forts, prospère dans ces décors.
Le duel des nations, pousse à la déraison.
Le sang nourrit les patries et le peuple subit.
Que fait la blanche colombe !
Au milieu de toutes ces tombes.
Que la bêtise des hommes est grande !
A vouloir toujours tout comprendre.
On n’arrête pas le progrès, c’est lui qui nous arrête.
Construire des bombes ça plait, c’est mieux que de faire la paix.
La société moderne, nous rend morose et terne
Tu parles d’un bel avenir, facile de nous mentir.
Que fait la blanche colombe !
Au milieu de toutes ces tombes.
Que la bêtise des hommes est grande !
A vouloir toujours tout comprendre
Nécro politique, comptez vos morts, comptez vos morts, admets tes torts.
Nécro politique, comptez vos morts, comptez vos morts, admets tes torts.
Alors pourquoi un implorer Dieu ? Son silence est-il un aveu !
Alors pourquoi un implorer Dieu ? Son silence est-il un aveu !
Alors pourquoi ? Alors pourquoi ?

Réveil douloureux, pleins de flash-back
Mouvements nerveux, le lit qui craque…
Je suis comateux, la tête en vrac, en vrac
Trop nauséeux, dans un ressac, un ressac
Pas silencieux, une porte qui claque, qui claque
État des lieux, chambre à sac, à sac !!
Perfs dans les bras, j’arrache tout ça, sang sur les draps, fuir cet endroit
Qui peut me dire, ce que je fais là ?
Le couloir est obscur, la panique s’empare de moi
Des post-it sur les murs, la chronique de l’effroi
Évoquent des morsures…
Contagion par le sang
Devient violent c’est sûr, agir comme un dément.
Vingt-huit jours après, l’humanité est infectée
L’épidémie globale, la fureur est virale
Vingt-huit jours après, l’humanité est condamnée
La pandémie fatale, la fureur est virale
De l’eau qui goutte, m’attire plus bas, trace ma route, guide mes pas
Contaminé… je ne sais pas ?
J’attends un bruit, j’étouffe ma terreur
Humain ou zombie, figé face à l’horreur
Je cours pour ma survie… rapide est l’enragé
Perdu à jamais, mordu, contaminé
Vingt-huit jours après, l’humanité est infectée
L’épidémie globale, la fureur est virale
Vingt-huit jours après, l’humanité est condamnée
La pandémie fatale, la fureur est virale
Errant l’âme en peine, parmi les morts vivants
Le cœur plein de haine, la fureur dans mes veines …

Terre d’Écosse embrumée, le soleil a beau se lever
Terre des mythes et des fées, le mystère ne cesse de planer
Aux détours, des chemins, on rencontre souvent des lutins
Démons ou chérubins, envoutés, tu leur appartiens.
Parcourant les âges, les territoires, de blasphèmes en chants incantatoires
Landes sacrées où planent les maléfices, les anciennes légendes sont invincibles
Highlands…….Highlands……..high……high………lands
Que renferme ton Lochness, cerné des roches de la noblesse
Monstre étrange ou déesse, qui ont su vaincre la vieillesse
Dans l’esprit, des vieux clans, le secret, est sauvé du temps
Garder le, monstre vivant, la prospérité en dépend
Parcourant les âges, les territoires, de blasphèmes en chants incantatoires
Landes sacrées où planent les maléfices, les anciennes légendes sont invincibles
Highlands…….Highlands……..high……high………lands

Assoiffé de liberté, amoureux de la nature
Baroudeur acharné, parti seul à l’aventure
Dans une quête perpétuelle, de sensation, de chaleur
La recherche spirituelle, l’évasion et la sueur
Dans la vallée de la mort, piégé, putain de sort
Dans la vallée de la mort, coincé, j’attends la mort
S’enchaînent les nuits et les jours, lutter à perdre raison
Planent sur moi les vautours, affamés, étranges visions
Loin sans espoir de secours, résigné, la décision
Fait comme un rat, sans retour, amputer, la solution
Dans la vallée de la mort, piégé, putain de sort
Dans la vallée de la mort, coincé, j’attends la mort
Cette lame qui me blesse, du sang épais
Ma volonté n’a de cesse, de dérailler
La tendresse et l’horreur, la volupté
Cette douleur qui m’agresse, oh par pitié
La fracture qui me reste, à pratiquer
Dans le geste, la rupture, les os brisés
Dans la vallée de la mort,
Mutilé….mutilé mais pas mort
Cette main que je laisse, sous ce rocher
Je confesse à genou, ma vanité
Sur mes joues, la tristesse, les larmes ont coulé
Sur mes joues, la tristesse, les larmes ont séché
Dans la vallée de la mort,
Mutilé….mutilé mais pas mort
Assoiffé de liberté ….amoureux de la nature…baroudeur acharné……….